Oasis 21 – 2 Rue de la Clôture
75019 Paris
Tél. : 09 88 19 55 80
Email : information@fne.asso.fr
Site : http://www.fne.asso.fr
Profil
Avec une équipe nationale composée de 180 bénévoles et 45 salariés, la force de FNE repose sur un large maillage associatif, puisque l’association réunit 467 associations adhérentes (et 6209 associations affiliées, membres des associations adhérentes). Présente dans près de 400 instances de concertation, FNE est incontournable dans les négociations environnementales. Son ancrage local, son expérience de la négociation et son expertise en font un interlocuteur privilégié des pouvoirs publics. Cela s’explique aussi par une forte dépendance de FNE vis-à-vis des ministères, puisque ceux-ci assurent environ un tiers des recettes de l’association écologiste. FNE travaille donc de façon étroite et régulière avec le ministère de l’Ecologie. Même si FNE a un déficit de notoriété par rapport aux autres grandes associations écologistes, la fédération revendique être la «3e ONG française la plus présente dans les médias».
De façon générale, FNE fustige le «dogme de la croissance économique», affirmant qu’«une croissance économique illimitée est incompatible avec la protection viable de la nature et de l’environnement». Dans le cadre de son plan stratégique 2030, FNE s’est fixé comme objectif d’«accompagner l’émergence d’une société plus sobre, avec une empreinte carbone réduite à 1,5 planète en 2030 et 1 planète en 2050». Préférant le terme «sobriété» à celui de «décroissance», l’association veut «changer de modèle de développement», et propose notamment la «réduction de la consommation d’énergie, la sortie des énergies fossiles et du nucléaire et le développement des énergies renouvelables.»
Concernant ses campagnes, FNE était à l’origine centrée sur la protection de la faune et de la flore, et a ensuite progressivement investi les autres thèmes écologistes comme le nucléaire, la 5G, les OGM, les pesticides ou encore la santé environnementale. Récemment, l’association a réorganisé ses dix réseaux thématiques au sein de trois grands pôles : pôle Nature (réseaux Biodiversité, Eau et Milieux aquatiques, Forêt et Océans, mers et littoraux) ; pôle Prévention (réseaux Prévention et gestion des déchets, Santé-environnement et Risques et impacts industriels) ; pôle Transition (réseaux Agriculture, Energie et Territoires et mobilités durables).
Même si FNE a défendu les Soulèvements de la Terre quand ils ont été menacés de dissolution, l’association ne pratique pas les actions de désobéissance civile et «condamne toute forme de violence, quel que soit son auteur». L’association préfère les divers outils de lobbying auprès des politiques et des institutions. Elle organise aussi des «mini-formation» pour les journalistes afin que ceux-ci reprennent leurs analyses dans les médias. Les actions en justice constituent un autre levier d’action de choix. Ainsi, en 2022, le réseau juridique de FNE a suivi 370 affaires en justice, avec un taux de réussite de 67% en moyenne. En outre, la fédération affirme privilégier une «culture du dialogue» et, en effet, l’association est engagée dans des partenariats importants avec des acteurs du monde économique, comme Paprec Group, Fondation Bouygues Télécom, PSA, Lafarge, Suez ou Veolia. Des partenariats jugés par certains écologistes comme des compromissions de FNE. Ainsi, le journaliste écologiste Fabrice Nicolino dénonce «une petite bureaucratie» qui est «perpétuellement à la recherche de breloques et de sous», et déplore qu’«ils s’acoquinent régulièrement avec des industriels dans le cadre de partenariats qu’ils jugent nécessaires». Et de fustiger le «pacte inouï» signé avec Keolis, MOBIVIA et la fondation PSA Peugeot Citroën. Dans le même temps, FNE peut adopter des positions radicales peu favorables au dialogue, comme quand elle a signé l’appel des coquelicots, initiative de Fabrice Nicolino, exigeant l’interdiction de tous les pesticides de synthèse.
Structure
Association de la loi de 1901, créée en 1968, reconnue d’utilité publique en 1976.
Dirigeants
Bureau
- Antoine Gatet : président
- Arnaud Schwartz : vice-président
- Anne Durand : vice-présidente
- Caroline Donge : vice-présidente
- Cécile Claveirole : vice-présidente, secrétaire nationale
- Ginette Vastel : vice-présidente
- Nicolas Richard : vice-président, trésorier
- Rita Fahd : vice-présidente
Conseil d’administration
- Alain Grapinet
- Anne Bénard
- Anne Lassman-Trappier
- Armelle Jung
- Arnaud Berger
- François Vetter
- Frédéric Jacquemart
- Frédérique Resche-Rigon
- Jean-François Narducci
- Jérôme Partos
- Marion Fourtune
- Muriel Martin-Dupray
- Odile Gannier
- Patrice Hirbec
- Paulette Dubard
- Pierre Gallet de Saint-Aurin
- Raymond Léost
- Rémi Luglia
- Thierry Dereux
Equipe salariée
- Bénédicte Hermelin : Directrice générale
- Adeline Mathien : Cheffe de projet Transitions
- Alexandra Froment : Animatrice du réseau Santé Environnement
- Alexis Guilpart : Animateur du réseau Eau et Milieux aquatiques
- Alexis Vannier : Directeur de la Communication, du Plaidoyer et du Développement
- Anna Cohen Boulakia Nabeiro : Cheffe de projet Alimentation et Agriculture
- Anne Roques : Juriste environnement
- Antoine Delalande : Chef de projet web
- Axèle Gibert : Animatrice des réseaux Prévention, gestion des déchets et Risques, impacts industriels
- Bernard Labat : Attaché de groupe « Environnement & Nature » du CESE
- Camille Cuenot : Chargée de développement
- Cécile Grelat : Comptable
- Chloé Godefroy : Chargée de plaidoyer européen
- Christian Hosy : Animateur des réseaux Biodiversité et Forêt
- Demba Diedhiou : Directeur des programmes
- Elodie Pajot : Assistante administrative
- Éloi Pérignon : Chargé des Relations Presse
- Estelle Palussière : Cheffe de projet web
- Florian Marchal : Community Manager
- Frédéric Briant : Chargé développement dons et libéralités
- Frédéric Cousin : Directeur des Systèmes d’information
- Guillaume Pannier : Responsable du service développement
- Jean-Pierre Coudouy : Chargé de mission du lien fédéral et de la vie associative
- Julia Lépicier : Cheffe de projet des Systèmes d’information
- Julie Durand : Chargée de mission du lien fédéral et de la vie associative
- Laura Chiron : Cheffe de projet Prévention
- Laure Piolle : Animatrice du réseau Agriculture et Alimentation
- Leïla Ayouch : Directrice des Ressources Humaines
- Lisa Einhorn : Directrice Lien fédéral, Vie associative et éducation
- Lisa Roche : Responsable du service Communication
- Madihou Diop : Administrateur des Systèmes d’Information
- Malou Boisson : Cheffe de projet Nature
- Manua Heriteau : Cheffe de projet Transitions
- Marie Zephyr : Assistante d’Équipe
- Marwa Mohamed : Assistante Systèmes d’Information
- Maxime Paquin : Chef de projet Biodiversité et Territoires
- Mélinda Rolo : Animatrice des réseaux Energie et Territoires-Mobilité Durable
- Morgane Piederrière : Responsable du service Plaidoyer
- Nicolas Oddo : Chef de projet Nature
- Nicolas Roura : Chef de projet Nature
- Noémie Guion : Chargée de développement
- Pia Savart : Juriste environnement
- Pierrette Saupin : Responsable du pôle Prévention
- Rachel Louiset : Coordinatrice du réseau Éducation et sensibilisation à l’environnement et à la nature
- Romain Dries : Directeur Administratif et Financier
- Solène Didion : Assistante Ressources Humaines
- Sabrina Roze : Assistante administrative
- Stéphanie Morelle : Animatrice des réseaux Biodiversité et Océans mers et littoraux
- Thaïs Dol : Cheffe de projet Lien Fédéral et Vie associative
- Thibault Leroux : Responsable du pôle Nature
- Thomas Lesperrier : Responsable du pôle Transition
- Ysaline Jean-Jacques : Cheffe de projet Prévention
Experts bénévoles
- Denez L’Hostis : membre d’honneur
- Christophe Chauvin
- Christophe Le Visage
- Geneviève Lafferere
- Jean-David Abel
- Johann Leconte
- Sabine Martin
Historique
Dans les années 60, il y a une volonté commune de réunir les associations de protection de l’environnement nationales, régionales, départementales et locales en un même ensemble. Sous l’impulsion de François Hüe, alors président de la Société Nationale de Protection de la Nature, il est créé la Fédération Française des Sociétés de Protection de la Nature (FFSPN) en 1968. La mobilisation pour la défense du parc de la Vanoise (1969-1971) menacé par un programme d’aménagement touristique a été un catalyseur pour la toute jeune fédération. L’association sera rebaptisée France Nature Environnement en 1990.
Activités
FNE comprend trois grands pôles : pôle Nature (réseaux Biodiversité, Eau et Milieux aquatiques, Forêt et Océans, mers et littoraux) ; pôle Prévention (réseaux Prévention et gestion des déchets, Santé-environnement et Risques et impacts industriels) ; pôle Transition (réseaux Agriculture, Energie et Territoires et mobilités durables).
Opérations : A partir de 2017, FNE a mis en place le projet participatif Sentinelles de la Nature, avec un site dédié et une application, qui incite à «localiser et signaler sur le territoire des atteintes à l’environnement ou des initiatives qui lui sont favorables». En 2023, le site recense 5690 «alertes» et revendique 23175 «citoyens sentinelles».
Depuis 2018, FNE a lancé l’Opération hérisson, un programme de recensement du hérisson en France.
En 2022, France Télévisions organisait avec FNE une soirée évènement pour lancer une opération «Aux arbres, citoyens». Plus de 2 millions d’euros ont été collectés à cette occasion et l’association a sélectionné 39 projets «en faveur des arbres et des forêts».
FNE a été particulièrement impliquée dans le Grenelle de l’environnement, prenant clairement la posture de ceux qui veulent «jouer le jeu». Sur le climat, FNE s’est engagée à accompagner ses associations afin qu’elles impulsent et participent à la création de Plans Climat-Energie Territoriaux, outils des collectivités pour lutter contre le dérèglement climatique. FNE soutient la mise en place de la trame verte et bleue, réseau de milieux naturels qui doit permettre de préserver la biodiversité. Concernant les questions agricoles, FNE met à son actif un «lobbying pour une agriculture à haute valeur environnementale» dans les négociations au niveau national : contribuer à la certification «haute valeur environnementale» des exploitations, réorienter les aides publiques à l’agriculture vers les exploitations agricoles favorables à l’environnement et réduire de moitié les usages de pesticides en 10 ans. Sur la loi OGM, en 2008, FNE avait fait ses propres propositions d’amendement avec FNH et la LPO, différentes de celles élaborées entre autres par la Confédération paysanne et Greenpeace. FNE a participé très activement aux travaux du Comité de préfiguration qui a abouti à la suspension du MON810. La Fédération est aussi mobilisée sur différentes questions clefs : les algues vertes, les déchets, les méga-camions, les nanotechnologies, etc.
Début 2011, à la veille du Salon de l’agriculture, FNE a lancé une campagne d’affichage choc, stigmatisant le monde agricole à propos des OGM, des algues vertes et des pesticides. Cette méthode de communication agressive, inspirée par celle de Greenpeace, a permis à FNE de bénéficier d’une importante couverture médiatique. Après la polémique qu’a suscité cette campagne, FNE est revenu à des méthodes d’intervention plus classiques. Depuis 2011, FNE a engagé un partenariat avec l’INRA pour des «échanges sur l’agroécologie». En septembre 2012, FNE a participé à la Journée mondiale contre les gaz et pétrole de schiste, afin de mobiliser «contre l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels, dangereux pour le climat, la santé et l’environnement». De décembre 2012 à juillet 2013, à l’occasion du débat national sur la transition énergétique, FNE a organisé 30 événements dans 16 régions différentes afin d’«engager notre société vers un modèle énergétique plus sobre, plus équitable et moins polluant». En 2013, FNE a publié un livret de recettes anti-gaspillage, À vos tabliers !, leur objectif étant de réduire de moitié le gaspillage alimentaire d’ici 2025. Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets, FNE organise chaque année des actions : en 2019, ce sont 60 associations membres et affiliées à FNE qui ont mis en place 168 actions partout en France.
En septembre 2017, FNE avec des organisations de la société civile et paysannes ont remis une pétition regroupant plus de 110.000 signatures contre les nouveaux OGM au ministre Nicolas Hulot.
En janvier 2018, FNE déplore que «la loi alimentation n’est en fait qu’une loi d’économie agricole». En février 2018, FNE avec d’autres associations s’oppose au nouveau «plan loup», expliquant que «l’État est incapable de mettre en évidence les bénéfices attendus du retour des prédateurs». En mars 2018, FNE cosigne une lettre ouverte appelant les ministres concernés «à ne pas délivrer de dérogation à l’utilisation des néonicotinoïdes». Au même moment, FNE accuse Nestlé Watters d’assécher la nappe phréatique de Vittel. En avril 2018, à l’occasion des expulsions à Notre-Dame-des-Mandes, FNE France Nature Environnement «dénonce une opération de manipulation médiatique qui fragilise le dialogue engagé avec l’ensemble des acteurs locaux autour du projet de territoire». En 2019, FNE, avec 19 organisations, a lancé le Pacte du pouvoir de vivre, «pour porter ensemble la convergence de l’écologie et du social». En septembre 2020, FNE, PRIARTEM et Agir pour l’Environnement plaident appellent à «bloquer le développement de la 5G tant qu’une évaluation sérieuse n’aura pas été conduite dans les règles de l’art».
Publications : FNE publie deux petites brochures (La Lettre du Hérisson et La Lettre Eau) ainsi que des guides pratiques sur divers sujets comme le bois énergie ou les mobilités durables.
Lobbying : FNE déclare avoir dépensé entre 3,2 et 3,5 millions d’euros en 2022 pour des activités de lobbying auprès des députés et sénateurs (contre 2 à 2,2 millions d’euros en 2021, 2,5 à 2,7 millions en 2020, 2,2 à 2,5 millions en 2019 et en 2018, de 2,7 à 3 millions en 2017). Elle a déclaré 13 actions de lobbying en 2022 et en 2021 (contre 14 en 2020, 13 en 2019, 12 actions en 2018 et en 2017). FNE représente les associations de protection de la nature et de l’environnement au sein d’environ 400 instances de concertation (territoriales, nationales et internationales). Par exemple, au sein du Conseil économique, social et environnemental, FNE compte 6 représentants au sein du groupe Environnement et Nature.
Contentieux : FNE n’hésite pas à recourir à la justice. En 2022, FNE a engagé 48 nouvelles actions contentieuses. Devant le juge pénal, le réseau juridique a suivi 271 affaires ; devant le juge administratif, il a suivi plus de 62 affaires ; devant le juge civil, il a suivi 37 affaires. Le taux de réussite des actions contentieuses de FNE en 2022 est de 67%. FNE a notamment obtenu le coût d’arrêt au projet Montagne d’Or en Guyane et a gagné contre EDF sur le parc éolien d’Aumelas.
Finances
En 2022, les dons, cotisations et legs ont fortement augmenté, passant de 1,1 à 3,3 millions d’euros, en raison de l’opération «Aux arbres citoyens» portée par France 2 et qui a permis de récolter environ 2 millions d’euros auprès du public. Dans ce cadre, la chaîne de télévision publique a aussi donné 202.000 euros à FNE. L’association dépend en grande partie des subventions publiques, le ministère de l’Ecologie octroyant à lui seul 1,2 million d’euros à FNE en 2022. Le Crédit Coopératif soutient FNE avec la mise en place de produits bancaires solidaires qui ont apporté 246.430 euros en 2022.
Année | Produits | Charges | Résultat |
---|---|---|---|
2022 | 6.993.410 € | 6.698.648 € | 294.762 € |
2021 | 4.473.238 € | 4.011.087 € | 462.151 € |
2020 | 3.992.592 € | 3.666.953 € | 325.639 € |
2019 | 4.077.716 € | 3.531.917 € | 545.799 € |
2018 | 3.914.849 € | 3.603.888 € | 310.961 € |
2017 | 3.688.394 € | 4.027.722 € | -339.328 € |
2016 | 3.644.075 € | 3.643.660 € | 415 € |
2015 | 3.472.409 € | 3.689.423 € | -217.014 € |
2014 | 3.444.847 € | 3.442.525 € | 2322 € |
2013 | 3.731.596 € | 3.515.693 € | 215.903 € |
2012 | 3.461.269 € | 3.647.495 € | -186.226 € |
2011 | 3.789.368 € | 3.786.272 € | 3096 € |
2010 | 3.007.712 € | 2.960.319 € | 47.393 € |
2009 | 2.705.008 € | 2.690.877 € | 14.131 € |
2008 | 2.281.856 € | 2.304.718 € | -22.862 € |
2007 | 1.543.664 € | 1.543.379 € | 285 € |
Répartition des financements
Principales sources extérieures de financement
2022 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.277.000 € |
France 2 | 202.500 € |
Paprec Group | 150.000 € |
Seas at Risk EU | 140.000 € |
CFEEDD | 118.907 € |
Office français de la biodiversité | 118.476 € |
Fondation Bouygues | 80.000 € |
RTE | 79.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 78.235 € |
SNCF Réseaux | 75.000 € |
SNCF Groupe | 75.000 € |
Ademe | 68.615 € |
Ministère de l'éducation nationale | 61.700 € |
Crédit Mutuel | 60.000 € |
GRT Gaz | 53.846 € |
Citeo | 50.000 € |
ONF | 50.000 € |
McDonald's | 40.000 € |
Fondation Carrasso | 30.000 € |
Reforest'action | 25.608 € |
Renewables Grid Initiative | 24.890 € |
Engie | 24.545 € € |
Veolia | 24.000 € |
Keolis | 22.500 € |
Fondation In Vivo | 22.500 € |
Horace | 21.637 € |
GRDF | 17.500 € |
Aides à l'emploi | 15.344 € |
Eau de Paris | 15.000 € |
La Poste | 15.000 € |
Axa | 12.000 € |
Séché Environnement | 8065 € |
Interbev | 7000 € |
Eoliennes en mer | 6250 € |
Boralex | 5000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 5000 € |
Enedis | 4000 € |
PEFC | 3500 € |
2021 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.260.000 € |
Office français de la biodiversité | 286.789 € |
SNCF Réseaux | 210.000 € |
Paprec Group | 150.000 € |
Ademe | 129.758 € |
Programme LIFE (UE) | 94.357 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
RTE | 79.000 € |
GRDF | 70.000 € |
Engie | 64.000 € |
Galec | 52.000 € |
Citeo | 50.000 € |
Keolis | 30.000 € |
Reforest'action | 25.616 € |
SNCF Groupe | 20.000 € |
CRDLA | 20.000 € |
GRT Gaz | 50.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 20.000 € |
ONF | 50.000 € |
La Poste | 15.000 € |
Boralex | 15.000 € |
Ecologic | 15.000 € |
CFEEDD | 14.896 € |
Horace | 12.549 € |
Séché Environnement | 12.500 € |
Eoliennes en mer | 12.500 € |
Crédit coopératif | 12.180 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 11.900 € |
Vicat | 10.500 € |
Cereco | 10.000 € |
Spotify | 10.000 € |
PEFC | 9537 € |
Eau de Paris | 6750 € |
Germanwatch | 4998 € |
Enedis | 4000 € |
2020 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.275.000 € |
Office français de la biodiversité | 319.761 € |
Paprec Group | 250.000 € |
Ademe | 162.037 € |
GRDF | 120.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
RTE | 75.137 € |
Engie | 68.000 € |
Crédit agricole | 50.000 € |
Citeo | 50.000 € |
Vicat | 45.500 € |
Voies navigables de France | 40.000 € |
ONF | 40.000 € |
Agence de l'eau | 33.000 € |
SNCF | 30.000 € |
Keolis | 30.000 € |
Reforest'action | 30.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 25.000 € |
Galec | 23.000 € |
Germanwatch | 21.001 € |
Boralex | 20.670 € |
WPD | 16.667 € |
Melvita | 15.000 € |
Eau de Paris | 15.000 € |
Programme LIFE (UE) | 14.940 € |
Eoliennes en mer | 12.500 € |
Crédit coopératif | 7500 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 6650 € |
CRM Services | 6365 € |
Agence française pour la biodiversité | 6000 € |
Eco TLC | 5000 € |
Horace | 2670 € |
PEFC | 1400 € |
2019 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.300.000 € |
Paprec Group | 350.000 € |
Agence française pour la biodiversité | 225.539 € |
Ademe | 217.285 € |
PSA | 200.000 € |
GRDF | 120.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
RTE | 66.363 € |
Engie | 58.000 € |
Leclerc | 55.000 € |
Seas at Risk | 50.000 € |
Citeo | 50.000 € |
Vicat | 49.000 € |
Voies navigables de France | 40.000 € |
SNCF | 38.750 € |
Réseau ferré de France | 25.000 € |
Léa Nature | 25.000 € |
Agence de l'eau Loire-Bretagne | 23.470 € |
Eoliennes en mer | 22.500 € |
Agence de l'eau Seine-Normandie | 20.240 € |
Keolis | 16.250 € |
Melvita | 15.000 € |
Reforest'action | 14.000 € |
Nabu | 13.693 € |
Mighty Earth | 11.764 € |
Caisse des dépôts et consignations | 10.000 € |
ONF | 10.000 € |
Boralex | 9330 € |
Avifaune | 8000 € |
Bureau européen de l'environnement | 6000 € |
Birdlife | 5875 € |
Eco TLC | 5000 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 4200 € |
Programme LIFE (UE) | 4000 € |
Ministère de l'Education nationale | 3000 € |
Deloitte Développement Durable | non connu |
Eau de Paris | non connu |
GRT Gaz | non connu |
Office français de la biodiversité | non connu |
Transitions DD | non connu |
2018 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.350.000 € |
Agence française pour la biodiversité | 233.695 € |
PSA | 200.000 € |
Paprec Group | 150.000 € |
Engie | 130.000 € |
Réseau ferré de France | 120.000 € |
Ademe | 101.415 € |
Ministère de l'Agriculture | 83.695 € |
GRDF | 65.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 60.000 € |
SNCF | 55.000 € |
Citeo | 50.000 € |
GDF Suez | 49.375 € |
Eoliennes en mer Dieppe Le Tréport | 45.000 € |
Eoliennes en Mer Iles d'Yeu et de Noirmoutier | 45.000 € |
RTE | 43.750 € |
Keolis | 43.528 € |
Agence de l'eau Loire-Bretagne | 39.600 € |
Vicat | 35.000 € |
Nabu | 27.658 € |
EOLFI | 25.000 € |
Léa Nature | 25.000 € |
Programme LIFE (UE) | 20.000 € |
Mobivia | 16.667 € |
Onema | 13.740 € |
Séché Environnement | 10.000 € |
GRT Gaz | 10.000 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 9800 € |
ONF | 9100 € |
Avifaune | 8000 € |
Transitions DD | 7222 € |
Agence de l'eau Seine-Normandie | 4049 € |
Bureau européen de l'environnement | 4002 € |
Birdlife | 3857 € |
Ministère de l'Education nationale | 3000 € |
Mighty Earth | 2756 € |
Eoliennes en mer | 2500 € |
CNAR Environnement | 2500 € |
Reforest'action | 1000 € |
2017 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.215.000 € |
Ademe | 196.392 € |
Crédit coopératif | 184.644 € |
Agence française pour la biodiversité | 150.000 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
Lyonnaise des eaux | 62.500 € |
Onema | 65.457 € |
Caisse des dépôts et consignations | 60.000 € |
GRDF | 42.500 € |
Agence de l'eau | 38.235 € |
Réseau ferré de France | 30.000 € |
SNCF | 15.000 € |
ONF | 9400 € |
CR DLA | 9179 € |
Voies navigables de France | 8000 € |
Réseau Action Climat | 6125 € |
Ministère de l'Education nationale | 3000 € |
2016 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.216.000 € |
Ademe | 211.216 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
GRDF | 70.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 60.000 € |
Lyonnaise des eaux | 53.125 € |
Onema | 51.717 € |
Lafarge | 50.000 € |
Agence de l'eau | 36.050 € |
Aires marines protégées | 30.953 € |
Voies navigables de France | 29.330 € |
GDF Suez | 28.333 € |
Veolia | 20.833 € |
Réseau ferré de France | 17.500 € |
CR DLA | 10.640 € |
Crédit coopératif | 10.000 € |
ONF | 8750 € |
Bureau européen de l'environnement | 6798 € |
2015 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.092.000 € |
Ademe | 264.296 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Bureau européen de l'environnement | 82.816 € |
Ministère de l'Agriculture | 80.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 80.000 € |
Lyonnaise des eaux | 60.000 € |
Lafarge | 58.333 € |
GRDF | 52.500 € |
GDF Suez | 50.000 € |
Onema | 50.000 € |
Veolia | 50.000 € |
Aires marines protégées | 40.833 € |
ONF | 35.000 € |
Agence de l'eau | 33.000 € |
Réseau ferré de France | 30.000 € |
Voies navigables de France | 22.151 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
GDF Branche Energie France | 16.667 € |
AFD | 15.000 € |
CR DLA | 10.500 € |
2014 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.102.000 € |
Ademe | 154.342 € |
Ministère de l'Agriculture | 107.800 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Lyonnaise des eaux | 80.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 80.000 € |
Lafarge | 70.000 € |
Bureau européen de l'environnement | 61.000 € |
Voies navigables de France | 57.883 € |
GDF Suez | 50.000 € |
Onema | 50.000 € |
Veolia | 50.000 € |
Fondation Macif | 40.000 € |
ONF | 35.000 € |
Réseau ferré de France | 30.000 € |
AFD | 30.000 € |
Agence de l'eau | 29.484 € |
Aires marines protégées | 28.333 € |
CR DLA | 27.736 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
GDF Branche Energie France | 20.000 € |
Transport & Environment | 5000 € |
SNCF | 2000 € |
2013 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.166.475 € |
Ademe | 197.854 € |
Lyonnaise des eaux | 180.000 € |
GDF Suez | 141.667 € |
Ministère de l'Agriculture | 119.850 € |
Réseau ferré de France | 107.500 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 80.000 € |
Lafarge | 70.000 € |
GDF Branche Energie France | 70.000 € |
Onema | 50.000 € |
PSA | 50.000 € |
Agence de l'eau | 44.749 € |
Voies navigables de France | 42.375 € |
SNCF | 40.000 € |
Fondation ECF | 38.750 € |
RTE | 37.750 € |
ONF | 35.000 € |
Deutsche Um e.V | 32.059 € |
Fondation Macif | 30.000 € |
PEFC | 30.000 € |
Veolia | 29.167 € |
Aires marines protégées | 27.500 € |
FNTP | 22.500 € |
Transport & Environment | 22.000 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
Mobivia | 17.500 € |
La Poste | 17.500 € |
Aides à l'emploi | 16.408 € |
AFD | 11.667 € |
H&B | 11.000 € |
Monoprix | 10.000 € |
Michelin | 10.000 € |
GRDF+GDF | 10.000 € |
Smetrall | 9000 € |
ERDF | 4000 € |
Nestlé | 3000 € |
Carrefour | 2500 € |
Belin | 2000 € |
Herta | 2000 € |
2012 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.057.800 € |
GDF Suez | 200.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 150.000 € |
Lyonnaise des eaux | 150.000 € |
Ademe | 143.736 € |
Ministère de l'Agriculture | 117.283 € |
Réseau ferré de France | 80.000 € |
Séché | 75.000 € |
Lafarge | 70.000 € |
SNCF | 60.000 € |
Voies navigables de France | 55.630 € |
Aides à l'emploi | 41.632 € |
Agence de l'eau | 37.885 € |
ONF | 36.250 € |
PEFC | 32.500 € |
Onema | 30.000 € |
Alliance Carton Nature | 25.000 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
Deutsche Um e.V | 18.622 € |
RTE | 16.250 € |
Ministère des Sports | 14.616 € |
Fondation ECF | 12.917 € |
Fondation de France | 10.000 € |
CNAR Environnement | 9000 € |
AFD | 8333 € |
Transport & Environment | 8167 € |
GDF Branche Energie France | 6666 € |
Nature & Découverte | 5000 € |
Alliantis | 5000 € |
Belin | 1975 € |